Dans une mise en demeure adressée à la Ville de Québec, dont fait état le Devoir du 24/07/2118, ils allèguent:
« Les positions que vous avez prises dans cette affaire constituent une atteinte grave à la liberté d’expression garantie par les chartes. Cette atteinte est d’autant plus grave qu’il s’agit ici de la liberté d’expression politique, une liberté fondamentale jouissant du plus haut degré de protection ».